Attention à toutes les femmes vivant dans des zones à forte pollution : une étude récente publiée dans la revue Neurologie a découvert un lien entre les niveaux réduits d’acides gras oméga-3 dans le sang et le rétrécissement accru du cerveau.
L’étude, impliquant plus de 1 300 femmes âgées en moyenne de 70 ans, sans démence au moment de l’étude, a rempli des questionnaires sur l’alimentation pour calculer la quantité de poisson gras consommée par chaque personne (à l’exception du poisson frit, car il a été constaté que la friture endommageait Les acides gras). Les sujets de l’étude ont ensuite subi des tests sanguins pour mesurer la teneur en acides gras oméga-3 dans leurs globules rouges.
Les résultats montrent que les femmes ayant une teneur élevée en acides gras oméga-3 dans leur sang ont conservé de plus grandes quantités de substance blanche dans le cerveau.
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De plus, la corrélation a été observée entre des niveaux de pollution plus élevés dans la région d’origine de chaque individu et des niveaux inférieurs de volume cérébral. Ces résultats suggèrent que l’augmentation de la consommation de poisson riche en acides gras oméga-3 peut aider à préserver le volume cérébral chez les femmes âgées et potentiellement aider le cerveau à lutter contre la pollution atmosphérique toxique. Cependant, les chercheurs avertissent également que de nombreux poissons sont riches en toxines environnementales et recommandent de consulter un médecin avant d’augmenter la quantité de poisson dans son alimentation.
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